La peur du surendettement : comprendre et surmonter cette angoisse

La peur du surendettement :

Comprendre et surmonter cette angoisse

Tu ressens parfois une boule au ventre en pensant à tes finances ? L’impression que les dettes s’accumulent et que tu ne sais plus comment t’en sortir ?

La peur du surendettement est une angoisse profonde, qui peut peser sur ton moral, tes nuits et même ta santé.


Si tu es ici, c’est peut-être parce que cette peur te concerne de près.

Tu n’es pas seul(e), et surtout, il existe des solutions.

Cet article est là pour toi, pour t’aider à comprendre pourquoi cette peur est si envahissante et comment retrouver un sentiment de contrôle et de sérénité.


Avant d’aller plus loin, sache une chose essentielle : ressentir du stress face à l’argent, c’est normal.

Mais ce stress ne doit pas te paralyser.

Ensemble, on va explorer pourquoi cette peur du surendettement existe, comment elle se manifeste et surtout, comment tu peux la surmonter.

1.Pourquoi le surendettement fait-il si peur ?

1.1. Qu’est-ce que le surendettement et pourquoi fait-il si peur ?

Le surendettement, c’est lorsque les dettes deviennent si lourdes qu’il devient impossible de les rembourser sans compromettre ses besoins essentiels (se loger, se nourrir, payer ses factures).

Ce n’est pas simplement « avoir des crédits », mais plutôt se retrouver dans une situation où les revenus ne suffisent plus à couvrir les échéances et les dépenses courantes.

Ce phénomène peut toucher tout le monde : une accumulation de crédits à la consommation, un accident de la vie (perte d’emploi, divorce, maladie), ou encore un manque de connaissance en gestion financière peuvent mener à une spirale dont il est difficile de sortir.

1.2. Pourquoi le surendettement génère-t-il autant de stress et d’anxiété ?

L’argent est un pilier de notre sécurité. Lorsqu’il vient à manquer, c’est toute notre stabilité qui vacille, et avec elle, une multitude d’émotions négatives :


  • La pression financière : Chaque mois, il faut jongler avec les factures, repousser certains paiements, se demander si l’on va pouvoir tenir jusqu’à la fin du mois. Ce stress constant peut devenir épuisant mentalement et physiquement.
  • La peur de l’avenir : Quand les dettes s’accumulent, l’avenir semble incertain. « Vais-je pouvoir m’en sortir un jour ? », « Et si je perds encore des revenus ? », « Vais-je devoir vendre mes biens, perdre mon logement ? » Ces inquiétudes alimentent l’anxiété et donnent parfois l’impression d’être pris(e) au piège.
  • Le sentiment d’échec et la culpabilité : Beaucoup de personnes en situation de surendettement ressentent de la honte. Elles se reprochent d’avoir « mal géré », d’avoir « fait des erreurs ». Cette culpabilité renforce le stress et empêche parfois de demander de l’aide.
  • Les tensions relationnelles : Les problèmes financiers ne restent jamais isolés. Ils peuvent affecter la vie de couple, la famille, les amis. Entre disputes, non-dits et incompréhensions, l’impact émotionnel est souvent lourd à porter.
  • Les répercussions sur la santé : Un stress prolongé peut provoquer des insomnies, de l’épuisement, des troubles digestifs, une baisse de l’estime de soi… Le corps et l’esprit sont mis à rude épreuve.


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Avant de voir comment mieux gérer cette situation, intéressons-nous aux raisons qui mènent au surendettement.

Pourquoi en arrive-t-on là ?

2. Pourquoi en arrive-t-on là ?

Le surendettement ne survient pas du jour au lendemain.

Il est souvent le résultat d’une accumulation de facteurs, qu’ils soient externes (économie, société) ou internes (habitudes, émotions).

Comprendre ces causes permet de mieux agir pour éviter ou sortir de cette situation.

2.1. Les facteurs économiques : un terrain difficile

Le contexte économique joue un rôle clé dans l’endettement.

Certaines périodes rendent la gestion financière plus complexe, même pour les personnes les plus prudentes :


  • L’inflation : Quand les prix augmentent plus vite que les salaires, le pouvoir d’achat diminue. Ce qui était gérable hier devient une charge lourde aujourd’hui. Résultat ? Beaucoup se tournent vers le crédit pour maintenir leur niveau de vie.
  • La crise économique : Une instabilité économique fragilise les emplois, fait grimper les prix et rend l’accès au crédit plus risqué. Lors d’une crise, même les personnes qui géraient bien leurs finances peuvent se retrouver en difficulté.
  • Le chômage et la baisse des revenus : Une perte d’emploi ou une diminution des heures de travail peut déséquilibrer un budget du jour au lendemain. Si les charges restent les mêmes mais que les revenus chutent, le recours à l’emprunt devient souvent une solution temporaire… qui peut vite devenir un piège.

2.2. Les facteurs personnels : des choix parfois coûteux

Le surendettement peut aussi découler de décisions personnelles ou de situations imprévues qui bouleversent l’équilibre financier :


  • Une mauvaise gestion financière : Beaucoup de personnes ne sont pas formées à la gestion de leur argent. Elles dépensent au fil du mois sans véritable plan, sans anticiper les imprévus ni prioriser leurs dépenses.
  • L’impulsivité et le crédit à la consommation : Le crédit est devenu un outil accessible, parfois même trop. Avec des offres alléchantes (« Achetez maintenant, payez plus tard ! »), il est facile d’accumuler des dettes sans s’en rendre compte. Un crédit, puis un autre pour combler le premier… et la spirale s’enclenche.
  • Les accidents de la vie : divorce, maladie, décès : Un événement imprévu peut bouleverser une situation financière stable. Un divorce entraîne souvent des frais importants et une baisse de revenus. Une maladie ou un accident peut empêcher de travailler et générer des dépenses médicales.

2.3. La psychologie de l’endettement : quand l’émotion prend le dessus

Au-delà des chiffres, il y a une dimension psychologique forte dans l’endettement.

Parfois, nos décisions financières ne sont pas rationnelles, mais influencées par nos émotions et notre environnement.


  • Les biais cognitifs : des pièges mentaux invisiblesNous avons tendance à sous-estimer les conséquences d’un emprunt (« Ce n’est que 50€ par mois ») ou à surestimer notre capacité à rembourser (« D’ici six mois, ça ira mieux »). Ces biais nous font prendre des risques sans toujours en mesurer l’impact.
  • La pression sociale et les normes de consommationNous vivons dans une société où l’image est importante. Les réseaux sociaux et la publicité nous poussent à consommer pour être « à la hauteur » des autres. Résultat : on s’endette parfois pour des achats qui ne sont pas essentiels, juste pour ne pas « paraître en retard » par rapport aux autres.
  • Les achats compulsifs pour compenser un mal-êtreDépenser peut être une manière d’apaiser le stress, la frustration ou un manque affectif. Pour certaines personnes, l’achat devient une échappatoire, un moment de plaisir immédiat… mais qui peut vite se transformer en regret et en dette.

2.4. Comprendre pour mieux agir

Le surendettement n’est pas toujours une question de « mauvaise gestion » ou de « manque de responsabilité ».

Il est souvent la conséquence d’une combinaison de facteurs économiques, personnels et psychologiques.


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Dans la suite, nous verrons comment gérer cette peur du surendettement et retrouver un équilibre financier et mental.

3. Les effets du surendettement sur le stress et la santé mentale

Le surendettement n’est pas seulement un problème financier : il a un impact profond sur le bien-être psychologique et physique.

Lorsqu’on se sent dépassé par les dettes, le stress devient omniprésent et peut conduire à des conséquences sérieuses sur la santé mentale, les relations et même le corps.

3.1. Une anxiété chronique qui ronge le quotidien

L’argent est un pilier de la sécurité.

Lorsqu’on se sent menacé financièrement, le cerveau entre en état d’alerte permanent, générant une anxiété difficile à apaiser :


  • Des pensées obsédantes : La peur de ne pas pouvoir rembourser, les échéances qui approchent, le compte bancaire à découvert… Ces préoccupations tournent en boucle dans l’esprit, empêchant de penser à autre chose.
  • Une sensation d’étouffement : Le surendettement donne l’impression d’être pris au piège, sans issue possible. Cette sensation de perte de contrôle nourrit le stress et peut mener à des attaques de panique.
  • Une insécurité constante : Quand on vit avec la peur du manque d’argent, chaque dépense devient une source de stress. Même les besoins essentiels (se nourrir, se loger, payer ses factures) peuvent devenir angoissants, créant un sentiment d’urgence permanente.

3.2. Des nuits perturbées : insomnies et fatigue mentale

L’insomnie est l’un des premiers symptômes liés au stress financier.

Difficulté à s’endormir, réveils nocturnes, ruminations…

Le cerveau reste en hyperactivité, incapable de trouver du repos.


  • Un cercle vicieux s’installe : Moins on dort, plus l’anxiété augmente. Plus l’anxiété augmente, moins on dort. Résultat : une fatigue mentale qui réduit la capacité à prendre du recul et à trouver des solutions.
  • Des impacts sur la concentration et la mémoire : Le manque de sommeil et le stress affectent les capacités cognitives. On devient plus irritable, plus impulsif, et on peine à prendre des décisions rationnelles.

3.3. Une perte de confiance en soi et un sentiment d’échec

Le surendettement ne touche pas seulement le portefeuille, il affecte aussi l’image que l’on a de soi.

Beaucoup de personnes en difficulté financière ressentent une profonde honte et culpabilité.


  • Le sentiment d’échec : L’impression d’avoir « mal géré », d’avoir « fait les mauvais choix » peut être écrasante. On se juge sévèrement, on se compare aux autres, on se sent incapable de rebondir.
  • Une auto-dévalorisation : Peu à peu, la confiance en soi s’effrite. On doute de ses capacités à gérer sa vie, à faire les bons choix, à s’en sortir. Cette perte d’estime de soi peut mener à des épisodes de dépression.
  • Un isolement progressif : Par honte ou par peur du jugement, beaucoup de personnes surendettées s’isolent. Elles évitent d’en parler à leurs proches, refusent les sorties ou les invitations, ce qui renforce encore plus la sensation de solitude.

3.4. Des relations sous tension : conflits et isolement

L’argent est un sujet sensible dans les relations, et le surendettement peut créer de fortes tensions avec l’entourage.


  • Conflits familiaux et de couple : Le stress financier est l’une des principales causes de disputes dans les relations. Quand l’argent manque, les reproches fusent (« Tu dépenses trop », « Tu n’aurais pas dû prendre ce crédit »), et la communication devient compliquée. Dans certains cas, cela peut même mener à des ruptures ou des séparations.
  • Un isolement social : Par honte ou par manque de moyens, on évite les amis, les sorties, les événements familiaux. On refuse d’admettre ses difficultés et on s’enferme dans un cercle vicieux où l’isolement renforce encore plus le stress.

3.5. Le stress physiologique : un impact direct sur le corps

Le stress chronique causé par le surendettement ne reste pas seulement dans l’esprit.

Il se traduit aussi physiquement, avec des effets parfois graves sur la santé.


  • Une production excessive de cortisol : Le cortisol, l’hormone du stress, est libéré en grande quantité lorsqu’on est en état de tension permanente. À long terme, cela peut provoquer fatigue intense, troubles de l’humeur et affaiblissement du système immunitaire.
  • Des troubles digestifs : L’anxiété affecte directement le système digestif. Maux de ventre, ballonnements, troubles intestinaux… Le stress peut perturber la digestion et provoquer des douleurs chroniques.
  • Des maux de tête et des tensions musculaires : L’accumulation de stress se manifeste souvent par des migraines, des douleurs dans le dos ou des tensions dans la nuque et les épaules. Le corps est en état d’alerte constant, ce qui finit par provoquer des douleurs physiques.
  • Un risque accru de maladies cardiovasculaires : À long terme, le stress financier augmente les risques d’hypertension, de troubles cardiaques et d’accidents vasculaires.


3.6. Un impact global qui ne doit pas être sous-estimé

Le surendettement ne se résume pas à une question d’argent.

Il peut devenir une véritable souffrance, impactant la santé mentale, les relations et le bien-être physique.


Mais bonne nouvelle : il existe des solutions pour réduire ce stress, retrouver un équilibre et reprendre le contrôle de sa vie financière.


👉 Dans la suite, nous verrons comment gérer cette situation et retrouver une sérénité financière et mentale.

4. Comment gérer la peur du surendettement et retrouver une certaine sérénité ?

Le surendettement peut sembler être une impasse, mais il est possible de retrouver une certaine sérénité en adoptant une approche pragmatique et bienveillante envers soi-même.

La clé est de prendre conscience de la situation, d’agir progressivement et de travailler sur son état d’esprit pour éviter que l’anxiété ne prenne le dessus.

4.1. Prendre conscience du problème sans culpabiliser

Avant toute chose, il est essentiel d’accepter la situation sans s’auto-flageller.

Beaucoup de personnes en situation de surendettement se sentent coupables, honteuses ou incapables.

Pourtant, ce n’est pas une fatalité.


  • Comprendre que cela peut arriver à tout le monde : Une crise économique, un divorce, une perte d’emploi, une maladie… De nombreuses causes peuvent mener à des difficultés financières. L’important n’est pas de ressasser le passé, mais de se concentrer sur les solutions.
  • Remplacer la culpabilité par la responsabilité : Au lieu de se dire « J’ai tout gâché », adopter une posture plus constructive comme « J’ai des difficultés, mais je vais trouver des solutions ». Cette simple modification de perception permet d’alléger la pression et de reprendre le contrôle.
  • Accepter ses émotions sans se laisser submerger : Peur, colère, frustration… Toutes ces émotions sont normales face au stress financier. Les reconnaître est un premier pas vers l’apaisement, à condition de ne pas s’y enfermer.

4.2. Mettre en place un plan d’action concret

Une fois la prise de conscience faite, il est essentiel de structurer ses actions pour éviter que le stress ne prenne le dessus.


Établir un budget clair et réaliste

Un budget permet de voir où va l’argent et d’identifier les dépenses à ajuster.

  • Lister ses revenus et ses charges fixes (loyer, crédits, factures…).
  • Identifier les dépenses superflues ou celles qui peuvent être réduites.
  • Établir un plan de remboursement réaliste et adapté à ses capacités.


Revoir ses priorités financières

Dans une situation de surendettement, il faut savoir prioriser.

  • Payer en priorité les charges essentielles (logement, alimentation, énergie).
  • Revoir son mode de consommation en différenciant les besoins des envies.
  • Reporter certaines dépenses non urgentes (achats impulsifs, loisirs coûteux).


Chercher des solutions adaptées

De nombreuses options existent pour alléger la pression financière.

  • Négocier avec ses créanciers : Dans bien des cas, il est possible d’obtenir des délais de paiement ou un rééchelonnement des dettes.
  • Faire appel à des organismes spécialisés : En France, la Banque de France propose des solutions comme le dossier de surendettement. D’autres associations offrent un accompagnement gratuit.
  • Explorer les aides financières : Selon la situation, des aides sociales peuvent être accessibles (CAF, RSA, aides au logement, fonds d’urgence).

4.3. Travailler sur son état d’esprit pour éviter l’anxiété paralysante

Le surendettement peut engendrer un sentiment d’impuissance qui empêche d’agir.

Pour éviter cela, il est important d’adopter une approche mentale proactive.


  • Remplacer le catastrophisme par une vision pragmatique : Plutôt que de se dire « Je ne m’en sortirai jamais », reformuler en « J’ai un problème à résoudre, et je vais avancer étape par étape ».
  • Fixer des objectifs concrets et atteignables : Par exemple, commencer par réduire une dépense précise ou contacter un conseiller financier. Chaque petit pas renforce la confiance en soi.
  • Se focaliser sur les solutions plutôt que sur les peurs : La peur est paralysante, mais l’action est libératrice. Même de petites avancées créent un sentiment de progression.
  • Éviter l’isolement : Parler de ses difficultés à une personne de confiance ou à un professionnel peut être un vrai soulagement et permettre de mieux gérer le stress.

4.4. Apprendre à gérer le stress au quotidien

La gestion du stress est un élément essentiel pour ne pas se laisser submerger par l’angoisse financière.


Techniques de relaxation pour apaiser le mental

  • Respiration profonde : La cohérence cardiaque (5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration) aide à réduire le stress instantanément.
  • Relaxation musculaire progressive : Un exercice simple où l’on contracte puis relâche progressivement chaque partie du corps.
  • Visualisation positive : Imaginer une situation future où l’on a retrouvé un équilibre financier et émotionnel.


Approche PNL et reprogrammation mentale

La Programmation Neuro-Linguistique (PNL) propose des outils efficaces pour modifier son rapport à l’argent et aux dettes.

  • Changer ses croyances limitantes : Remplacer « L’argent est une source de stress » par « L’argent est un outil que je peux apprendre à gérer ».
  • Ancrer un état de calme : Associer une sensation de sérénité à un geste ou un mot pour pouvoir l’activer en période de stress intense.
  • Visualiser des solutions plutôt que des problèmes : Se voir en train de prendre des décisions financières sereinement aide à transformer ses comportements.


Mindfulness et gestion des émotions

La pleine conscience (mindfulness) est une excellente méthode pour éviter de se laisser submerger par l’anxiété.

  • Se recentrer sur l’instant présent : Au lieu de ruminer le passé ou d’anticiper le pire, revenir à ce que l’on peut faire ici et maintenant.
  • Observer ses pensées sans s’y accrocher : Se dire « Je ressens de l’inquiétude, mais cela ne définit pas ma réalité ».
  • Pratiquer des activités apaisantes : Méditation, marche en pleine nature, écriture… Tout ce qui aide à retrouver du calme intérieur.

4.5 Se libérer de la peur et avancer pas à pas

Le surendettement est une épreuve difficile, mais il n’est pas une fatalité.

En adoptant une approche structurée et bienveillante, il est possible de reprendre le contrôle, de réduire son stress et de retrouver une certaine sérénité.


🔹 Accepter la situation sans culpabiliser
🔹 Établir un plan d’action clair et réaliste
🔹 Modifier son état d’esprit pour ne pas se laisser submerger
🔹 Utiliser des techniques de gestion du stress pour apaiser le mental


Peu importe la profondeur des difficultés, il existe toujours des solutions. L’essentiel est de ne pas rester seul face au problème et d’avancer, même à petits pas.

Conclusion :

Reprendre le contrôle et avancer vers un avenir plus serein

Le surendettement peut sembler être un tunnel sans issue, mais il est important de se rappeler qu’aucune situation financière n’est irréversible.

Avec les bonnes stratégies, un plan d’action structuré et, si besoin, un accompagnement adapté, il est tout à fait possible de s’en sortir.

Chaque petit pas vers la résolution du problème est une victoire qui rapproche d’un avenir plus serein.


Mais au-delà des chiffres et des solutions financières, il est essentiel de prendre soin de soi.

Le stress, l’anxiété et l’épuisement mental liés aux difficultés financières ne doivent pas être sous-estimés.

Cultiver un état d’esprit résilient, apprendre à gérer son stress et s’entourer de soutien sont des éléments clés pour traverser cette période avec plus de sérénité.


Rappelez-vous : vous n’êtes pas défini par vos dettes.

Ce n’est qu’un défi temporaire, et avec du courage, de la patience et des actions concrètes, il est possible d’en sortir plus fort et plus conscient de ses ressources intérieures.

Ce qui compte, ce n’est pas où vous en êtes aujourd’hui, mais la direction que vous choisissez de prendre.